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Scribouilles
Fanfiction n°11

L'ILE ENSORCELEE


Julie est dans son kiosque, l’air peu rassurée. Elle est plongée dans un livre sur la couverture duquel on peut lire « Oscar Wilde – Le fantôme des Canterville ». Tout près d’elle, sur le rebord de son kiosque, est posé un crâne.

Julie [lit] : Il continuait de glisser en silence, comme une ombre mauvaise, et l’obscurité elle-même semblait l’avoir en horreur tandis qu’il avançait… Eh bien, c’est pas très gai, tout ça !
François arrive brusquement.
François : Salut, Julie !
Julie [sursaute] : Oh, François, tu m’as fait peur !
François : Qu’est-ce que tu lis de beau ? Oh, Oscar Wilde, très bien ! C’est l’un des très grands écrivains anglais du dix-neuvième siècle, et Le fantôme des Canterville est l’une de ses meilleures nouvelles.
Julie : Sans doute, mais inquiétante ! Et quelle idée tu as eue, aussi, de déposer ce crâne dans mon kiosque ! Chaque fois que je le regarde, j’ai l’impression de voir le fantôme des Canterville qui ricane méchamment.
François : C’est un crâne d’australopithèque, le musée de l’île me l’a prêté pour que je le montre aux enfants.
Julie : Les enfants, tu ne risques pas de les voir aujourd’hui. Monsieur Beauchêne les a emmenés sur le continent visiter le salon de l’agriculture. Sans eux, l’île me semble déserte, ça fait un grand vide. Et c’est ce moment-là que je choisis pour lire des histoires de fantômes, c’est pas malin! [Elle sourit.] Heureusement qu’on est en plein jour. Si je lisais ça la nuit à la lueur d’une chandelle, je m’attendrais à voir surgir des monstres et des esprits malfaisants de partout.
François : Rassure-toi, tu ne risques pas de voir ce genre de choses sur l’île. Les seuls monstres qu’on rencontre ici, ce sont…
Casimir et Hippolyte entrent dans le jardin. Casimir tient un gros livre sous le bras.
Casimir : C’est nous !
Hippolyte : Salut !
François : Tiens, quand on parle du casimirus…
Casimir : Julie, François, j’ai fait une découverte sensationnelle.
Hippolyte : Il fait toujours des découvertes formidables, mon cousin !
Julie : De quoi s’agit-il ? Et c’est quoi, ce gros livre, Casimir ?
Casimir : C’est le vieux grimoire de mon ancêtre Casimirus Merlin.
Hippolyte : C’est mon ancêtre aussi, cousin.
François : Casimirus Merlin… C’était bien ce savant un peu sorcier qui avait conçu cette machine à faire la pluie et le beau temps, que tu avais fabriquée autrefois ?
Casimir : C’est bien cela !
Julie : Oui, et tu te souviens de ce qui s’était passé… Le climat de l’île avait été complètement détraqué !
Casimir : Rassure-toi, cette fois-ci, je ne risque pas de perturber la météo.
Hippolyte : Il a réponse à tout, mon cousin !
Casimir J’ai lu la dernière partie de son livre, celle qui est consacrée aux formules magiques, c’est vraiment intéressant !
François : Des formules magiques ?
Julie : Casimir, tu ne crois tout de même pas à ces bêtises ?
Casimir : Non, évidemment, mais c’est rigolo ! Il y en a une qui explique comment éveiller les… les ectoplasmes.
Hippolyte : Et là, on n’a pas bien compris, François ! Qu’est-ce que c’est, des ectoplasmes ?
François : Eh bien, des ectoplasmes, ce sont des esprits, des formes un peu surnaturelles, des…
Julie : Des fantômes, quoi!
François : Oui, on peut le dire !
Casimir [éclate de rire] : Ah, c’était un farceur, Casimirus Merlin ! Elle est marrante, cette formule, c’est la chanson de l’île aux enfants un peu transformée, écoutez ça…
Voici venu le temps des spectres et revenants,
Dans l’île aux enfants, tous les jours sont terrifiants.
C’est le pays affreux des fantômes hideux,
Des monstres maudits, c’est l’enfer, je vous l’ dis !
Hippolyte : Il chante bien, mon cousin !
A peine Casimir a-t-il terminé de chanter la formule qu’un coup de tonnerre éclate, accompagné d’éclairs.
François : Casimir, que disais-tu à propos de la météo qui ne risquait pas d’être perturbée ?
Casimir : Je me demande si je n’ai pas fait une petite gaffe…
Hippolyte : Finalement, il est pas si génial que ça, mon cousin !
Soudain, l’île est plongée dans l’obscurité nocturne.
Julie [Très inquiète] : Que se passe-t-il ? Il fait tout noir !
On entend un clocher qui sonne l’heure.
Julie [compte les coups] : Un… Deux… Trois…
Casimir : Quatre… Cinq… Six…
Hippolyte : Sept… Huit… Neuf…
François : Dix… Onze… Douze ! Les douze coups de minuit ?!
Julie : Mais c’est impossible ! A l’instant, il était à peine dix heures du matin !
Au son d’une musique d’orgue, des fantômes apparaissent dans le jardin. Deux squelettes se mettent à danser et à gesticuler, tandis qu’un vampire en cape noire et rouge avance très lentement vers les habitants de l’île.
Hippolyte : Bonjour, Messieurs ! Vous désirez ?
Casimir : Je me demande de plus en plus si je n’ai pas fait une petite gaffe…

[Séquence intermède : une « variation » de Lonati et Bettiol pour détendre cette lourde atmosphère.]

Retour au jardin. Monsieur du Snob se promène, quand tout à coup, un monstre grimaçant sort de derrière un arbre et pousse un rugissement démoniaque. Monsieur du Snob sursaute, puis rit en haussant les épaules.
Monsieur du Snob : Ha, ha… Très amusant !
François accourt à sa rencontre.
François : Monsieur du Snob, il faut que je vous prévienne…
Monsieur du Snob : Oui, oui, j’ai vu, mon très cher ami… Vous répétez un petit spectacle pour les enfants, avec son et lumière. Ou plutôt, son et obscurité. C’est ingénieux !
François : Non, pas du tout ! Ecoutez-moi…
Monsieur du Snob : J’aime beaucoup les déguisements de vos acteurs, ils sont saisissants de réalisme !
Un autre monstre, verdâtre et déguingandé, surgit derrière Monsieur du Snob et psalmodie une longue plainte d’une voix suraigüe avant de disparaître aussi rapidement qu’il était apparu.
Monsieur du Snob : La preuve ! C’était Marie Chanson déguisée en monstre, n’est-ce pas ? J’ai reconnu son contre-ut !
François : Mais non…
Monsieur du Snob : Bien entendu, pour nous autres, gens de qualité, ces divertissements sont un peu futiles. Mais baste, il faut bien amuser les enfants, il n’y a pas de mal à cela !
François : Monsieur du Snob, écoutez-moi…
Un squelette s’approche de Monsieur du Snob et de François.
Monsieur du Snob : Ha, ha, voyez, je me demande qui se cache sous ce déguisement de squelette. [Monsieur du Snob s’approche du squelette.] Alors, mon cher ami, laissez-moi deviner qui vous êtes !
Monsieur du Snob palpe l’apparition, et, à sa grande stupeur, se rend compte qu’il s’agit d’un vrai squelette en moëlle et en os.
Monsieur du Snob : François, mon très cher ami, ne me dites pas que…
François [excédé] : Non, je ne vous le dirai pas, puisque vous m’en empêchez depuis dix minutes !
Monsieur du Snob s’enfuit en hurlant de terreur. François s’élance à sa suite.
François : Monsieur du Snob, ne me laissez pas tout seul !

Julie est au téléphone de son kiosque.
Julie : Mais… Mais, Monsieur… Ou Madame… Où voulez-vous que je vous trouve ça ? Allô ? Allô ?
Le facteur s’approche de Julie.
Le facteur : Bonjour, Mademoiselle Julie !
Julie [sursaute violemment en poussant un cri d’effroi] : Aaaaahhhh… B… Bonjour, facteur !
Le facteur : Fait noir, pas vrai ? Ce doit être une éclipse de soleil, ils n’en ont pourtant pas parlé à la radio. Mais qu’avez-vous, Mademoiselle Julie, vous êtes toute pâle !
Julie : Quelqu’un, ou quelque chose, vient de me téléphoner trois fois de suite pour me commander des araignées confites et des yeux de salamandre.
Le facteur : Un petit plaisantin, pour sûr ! Qu’est-ce qui vous effraie tant là-dedans ?
Julie : Ce qui m’effraie, c’est que le téléphone sonne alors que je l’ai débranché !
Le téléphone sonne à nouveau, alors que Julie n’a même pas raccroché.
Julie [tremblante] : Allô? Non, Monsieur, je n’ai toujours pas votre commande... Quoi ? Mais… Mais comment faites-vous pour voir, par téléphone, que j’ai une tache d’œuf sur ma robe ???
Julie raccroche.
Le facteur : Vous semblez très nerveuse, Mademoiselle Julie ! Je crois que j’ai du courrier pour vous, ça vous détendra peut-être.
Le facteur ouvre sa sacoche, et… il s’en échappe une nuée de chauves-souris.
Le facteur [affolé] : Eeeehhhhh… Mais qu’est-ce que c’est que ça ???
Dépité, Emile constate que ses lettres et ses prospectus sont complètement déchiquetés.
Le facteur : Quelle horreur ! Elles ont mangé la moitié du courrier.

Dans un autre coin du jardin, Casimir et Hippolyte feuillettent désespérément le grimoire de Casimirus Merlin.
Casimir : Il faut trouver le moyen d’arrêter cette folie furieuse. Il doit bien y avoir une formule contre ça, dans ce grimoire.
Hippolyte : Oui, cherche, cousin, cherche !
Casimir : Ah, voilà, j’ai trouvé : Formule pour se débarrasser des ectoplasmes.
Hippolyte : Super !
Casimir : Attends, elle est un peu difficile à déchiffrer…
Les chauves-souris s’abattent sur le grimoire et en dévorent toutes les pages avant de reprendre leur vol, laissant Casimir et Hippolyte déconfits.
Casimir : Hippolyte, si tu demandes « Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? » ou si tu poses une autre question stupide, tu as mes quatre doigts sur la figure.

Casimir, Hippolyte, Julie, François, Monsieur du Snob et le facteur se rassemblent au centre du jardin, terrorisés. Des formes spectrales s’agitent. Un serpent rampe le long de « l’arbre rouge ». De grands yeux luisent dans les coins noirs. On entend des ricanements, des grognements et au loin, un long cri qui ressemble à la plainte d’un chien hurlant à la mort.
François : Voyons les choses en face, notre île est hantée !
Julie : Et il y a du nouveau !
Le facteur : Quoi donc ?
Julie : Léonard râle!
Casimir : Tu parles d’une nouveauté!
Julie : Non, je veux dire qu’il pousse des râles, comme s’il manquait d’air ! Il vient de sortir de son terrier, et il n’a pas l’air bien.
Monsieur du Snob : Avec ce qui se passe en ce moment, ma chère amie, n’importe qui serait malade !
Julie jette un coup d’œil rapide dans son kiosque.
Julie : Oh, oh... Vous êtes prêts à entendre une chose qui ne va pas vous plaire?
Casimir : Au point où on en est…
Julie : Je crois que Léonard vient de se changer en renard-garou !
Les autres : QUOI !!!!!
Léonard émerge du kiosque, transformé. Il est hirsute avec des canines pointues.
Hippolyte : C’est notre Léonard, ça ?
Casimir : C’est horrible !
François : C’est atroce !
Le facteur : Pour sûr, c’est effroyable !
Monsieur du Snob : Et franchement inesthétique !
Léonard : Gnarf, gnarf… Des poules ! Je veux manger des poules ! Julie, apporte-moi un vol-au-vent au poulet, sinon, je mords ! Gnarf !
Julie : Oui, oui, tout de suite, Léonard, je t’amène ça… [Elle s’éloigne.] C’est bien la première fois que j’ai peur de Léonard !
Casimir, Hippolyte, François, Monsieur du Snob et le facteur se précipitent vers Julie.
Casimir : Julie, s’il te plaît, ne t’éloigne pas !
François : Il faut rester en groupe. A chaque pas, le danger nous guette !

Séquence Toba et les autres. Toba et Grouchi sont dans leur décor champêtre habituel.
Grouchi : Cher public, nous vous prions d’excuser aujourd’hui l’absence de notre ami Léonard.
Toba : Il ne se sent pas tout à fait lui-même…
Grouchi : Néanmoins, vous aurez tout de même droit à votre séquence Toba et les autres, avec Toba, Touta et votre serviteur.
Touta est rentrée dans sa carapace, et tremble comme une feuille.
Grouchi : Voyons, Touta, ne fais pas l’enfant, sors de ta carapace !
Touta : Nan, j’veux pas !
Toba : Hem, Grouchi, Touta n’a peut-être pas tort ! Monsieur Martin est parti se barricader chez lui, on devrait peut-être suivre son exemple.
Grouchi : Voyons, Toba, tu oublies que je suis un magicien ! Je vais immédiatement mettre fin à toutes ces diableries !
Toba : Tu en es sûr ?
Grouchi : Fais-moi confiance ! Si, d’un coup de ma baguette magique, je n’arrive pas à rétablir le calme sur l’île, je t’autorise à me traiter de triple buse !
Une main de spectre sort d’un fourré, accompagnée d’une voix lugubre en hors champ.
La voix : Triple buse ? Très bonne idée !
La main fantomatique fait un geste, et, dans un éclair et un nuage de fumée, Grouchi se retrouve transformé en rapace à trois têtes.
Toba [ahuri] Grouchi… Tu es lequel des trois ?

Retour au jardin. Casimir, Hippolyte, François, Julie, le facteur et Monsieur du Snob sont toujours aussi terrorisés. Mademoiselle Futaie fait son entrée.
Edmée Futaie : Bonjour, les amis, vous allez bien ?
Casimir : Mademoiselle Futaie, faites attention !!!
Monsieur du Snob : Oui, ma chère Edmée, prenez garde, il se passe ici des tas de choses bizarres !
Edmée Futaie : Aucune chose bizarre ne pourra m’empêcher de vous montrer mon nouvel herbier, auquel je travaille depuis deux semaines, et dont j’ai terminé le classement aujourd’hui, malgré cette obscurité soudaine.
Un fantôme bouscule Mademoiselle Futaie, qui lâche brutalement son herbier.
Edmée Futaie : Oh non !!! Mon herbier est par terre, toutes les feuilles sont mélangées ! Un travail de quinze jours !!!
Mademoiselle Futaie se redresse, furieuse. Ses yeux lancent des flammes.
Edmée Futaie : Qui que vous soyez, vous avez eu tort de faire ça !!!
Elle se précipite sur les monstres et les fantômes et leur cogne dessus à grands coups de parapluie. Le vampire se dresse devant elle, mais Edmée lui donne un coup de pied dans le tibia, qui arrache un hurlement de douleur à l'horrible créature. Les autres habitants de l’île assistent à la scène, ébahis et admiratifs.
Julie : Mademoiselle Futaie n’a peur de rien!
François : Et elle est efficace !
Casimir : Elle vaut toutes les formules magiques du monde.
Tous les monstres sont complètement paniqués devant cette furie qui fond sur eux. Un fantôme lance un message de détresse à la cantonnade.
Le fantôme : Appel à tous les ectoplasmes ! Il y a sur cette île des forces maléfiques contre lesquelles nous ne pouvons pas lutter. Disparaissons et fuyons ! Les monstres, fantômes, vampires et squelettes disparaissent.
Edmée Futaie : Ils sont partis ? Dommage, j’avais bien envie de continuer à passer mes nerfs sur l’un ou l’autre !
Léonard, sous son apparence de renard-garou, émerge du kiosque de Julie.
Edmée Futaie : Aaaaahhhhh, en voici encore un !!!
Edmée donne un grand coup de parapluie à Léonard, qui s’écroule, puis émerge à nouveau du kiosque, cette fois sous son apparence normale.
Léonard : Oh, là, là, ma tête ! Que m’est-il arrivé ?
Edmée Futaie : Oh, Léonard, mon petit colibri, c’était toi ! Pardonne-moi, mon petit canari rose à truffe…
Edmée couvre Léonard de baisers et de papouilles.
Léonard : Je ne sais pas ce que je dois vous pardonner, mais je vous le pardonne bien volontiers si vous cessez de m’étouffer !
Les ténèbres s’effacent pour laisser la place au soleil resplendissant qui brille habituellement sur l’île.
Julie : Regardez, le soleil est revenu !
Le facteur [regarde à l’intérieur de sa sacoche] : Miracle !!! Le courrier est intact !!!
Monsieur du Snob : Ma chère Edmée, je ne trouve pas les mots pour vous exprimer notre gratitude.
Casimir : Un moment, je dois vérifier quelque chose ! Léonard, si je te dis « mangeur de poules », qu’est-ce que tu me réponds ?
Léonard : Je te réponds TOI-MEME, sac à gloubi boulga ! Casimirus balourd ! Crétin boursouflé !
Casimir : C’est bon, il est guéri !
Toba apparaît dans le kiosque de Julie, à côté de Léonard.
Toba : Ah, Léonard, tu es redevenu normal ! Grouchi aussi, c’est super !
Léonard : Mais de quoi est-ce que tu me parles, Toba ?
Toba : On t’expliquera. Pour l’instant, il faut que tu viennes de l’autre côté du terrier. Grouchi est encore un peu perturbé, et j’essaie en vain de le convaincre qu’on ne peut pas se réfugier à deux dans la carapace de Touta.
Toba et Léonard sortent par le tunnel.
François : Tout finit bien, comme d’habitude… Mais on revient de loin.
Hippolyte : Tu peux le dire, François, j’en suis encore tout retourné.
Casimir : Il faudrait s’occuper à une activité amusante, pour oublier un peu tout ça. Tenez, Julie pourrait nous lire quelques chapitres de son bouquin, Le fantôme des Canterville, ça a l’air pas mal.
Tous les autres : AH NON !!!!!
Ils s’en vont tous au pas de course, laissant Casimir seul, près du kiosque, où se trouve encore le crâne d’australopithèque.
Casimir : D’accord… C’était peut-être une suggestion un peu maladroite…
Le crâne ouvre les mâchoires et prononce distinctement un "OH , CASIMIR !" Casimir regarde le crâne, interloqué, pendant que se fait entendre le petit jingle de fin.

FIN


(c) Octobre 2004.Texte du chapelier fou d’après les personnages créés par Y.Brunier et C.Izard.


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